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Mai 2006
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Gwilh : y'a plus personne ici? tu n'écris plus??? choupi???
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Mardi (23/05/06)
On a toujours une deuxième chance
Même quand c'est la cinquantième fois qu'on utilise sa deuxième chance.
Lundi (22/05/06)
Je sais que je devrais avoir fermer
--> mais j'ai des circonstances attenuantes.
Ma vie est nule.
Trop. Grave.
J'ai rien a faire ici, vu que je dois me censurer. Mais j'ai pas eu le temps de commencer un nouveau blog, et si je n'écris pas je crève.
C'est trop nul.
Comment en une phrase un pan de monde peut s'écrouler sur votre gueule...
en plus y a de l'orage.
C'est nul. Nul. Nul à mourir.
Mourir d'ennui, de flemme, de déséspoir, de pessimisme.
Et je m'en fous si y a des salaud [sous entendu bien marqué] qui lise ça. Parce que si c'est le cas, c'ets ni plus ni moins que des salauds.
N'empêche.... plus déçue que moi, ça n'existe pas ce soir.
Je suis la fille la plus déçue de l'univers.
Mais demain, il fera jour. Et avec un peu de chance il fera beau. Et avec encore un peu plus de chance, j'aurais le droit à des excuses agrémentées de " ^^ ".
A des remords, nan, jamais. "nan, rien de rien, nan, je ne regrette rien... ". C'est naze Edith Piaf. Je me demande, ce qui n'est pas naze ce soir.
J'ai pas envie de commentaires à ce truc, ce gribouilli appelé article. ça me soule. Je suis déçue.
Jalouse. Déçue et jalouse; Voila ma vie ce soir.
Jalouse. Parce qu'il ne l'a pas envoyé ballader (pour rester polie) sur msn. Zentil, qu'il est, hein?
Vouais, c'est ça le pire. C'ets qu'il est gentil.
Que je suis juste en train de péter un cable.
ça me monte à la tête cette histoire. ça craint.
y a des éclairs dehors, j'aime pas.
"no bravery" dans tous les sens du terme, ce soir.
J'vais aller me coucher et consommer ma solitude au fond de mon lit trop naze. Tout est naze. Et moi je ne suis qu'une pauvre fille jalouse, d'une autre pauvre fille, qui l'est probablement aussi. Et je suis deçue, parce qu'un type gentil ne l'a pas été. Même pas, en fait. Il l'a été. Sauf que j'attends trop. Il n'a pas été "assez", c'est tout.
Et puis ils ont qu'a à se faire leur cachotteries dans mon dos, j'm'en fous. J'ai plus qu'à redevenir egoiste, et alors je ne serais ni déçue, ni jalouse. Juste egoiste.
J'en ai marre des " ^^ ".
Avec ça, on peut écrire des montagnes de bétises sans jamais être responsable de ce qu'on dit. Finnallement c'est lache.
Comme moi. J'ai envie de me souler à la musique. Pac'que je suis pas une pauvre filel bourée moi.
Faites pas attention, et ne répondez pas, si par hasard vous avez réussi à lire cet article.
Ma vie est nulle, autant par ma faute que par la faute du monde, pas la peine de méler encore plus de gens à cette histoire....
Samedi (13/05/06)
Je pars.
Vouais, je pars.
Je ne peux plus rester ici, à cause de l'incident "Vincent" voir ci dessous.
Alors je m'en vais ailleurs, sur un autre blog, où il ne me retrouvera pas.^^
Je me débrouillerai pour vous faire passer l'adresse de mon nouveau blog, ceux qui la veulent.
C'ets dommage, n'empêche. Dommage qu'au moment où je me réconciliais avec mon joueb, je doives tout quitter, et tout reprendre à zéro, ailleurs.
Choupi a vécu, et Casimir l'a tuée.
[je sais j'exagère, n'empêche, qu'en exagéré, c'est ça.]
Alors bonne continuation à tous, soyeux heureux et souirez, puis écrivez, écrivez autant que vous le pouvez, hein?!
Voila. Bye bye tout le monde. (C'était mon dernier article.)
Mardi (09/05/06)
ptit dédicace
Vincent, si t'es là, c'est que t'es un gros salaud. (bon tu pourrais au moins faire style que t'es là...maintenant que t'y es...)
Mardi (02/05/06)
je hais les mauvaises surprises dans le genre
--> Et je vais tout casser d'abord.
Dégoutée.
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Je viens d'écrire un super long article sur mes deux semaines sur la planète mars (comprenez "voyage scolaire en italie" et colo comme celle de l'an dernier).
Alors toute guillerette je clique sûre "publier".
Et là, "permission refusée". Froncement de sourcil... je m'étais déconnectée entre temps, dieu seul sait comment.
Alors bel article se perd dans les profondeurs des oubliettes du vide sydéral de l'ordinateur. Pensez bien, je lui fais confiance à mon ordinateur. Mais maintenant, c'est finit ce genre de pacte amical. Je ferai "copier" à chaque article que je vais écrire.
Parce que là j'en ai trop marre. J'ai pas du tout envie de réécrire la totalité de mon article disparu. Mais alors pas du tout.
Zavez plus qu'à m'imaginer entrain de lécher une glace au pied de la tour de pise ou en train de signer des photos de groupe pour tous les gens de la colo.
Pfff... ça n'arrive qu'à moi ce genre de truc nul.
Vendredi (14/04/06)
Droguée aux médicaments et à la musique....
--> Et revoir le soleil...
 L'armoire à pharmacie c'est parce que je suis malade.
La gorge. Et puis lundi je dois parti en Italie avec le lycée.
Alors j'ai les médicaments.
Même si j'aime pas ça.
Mais je me tais.
Et puis si je suis attachée à mon lit avec la maldie qui me sert d'ancre, il y a toujours un échappatoire.
La musique.
Ce matin, médecin. Il faisait beau. Pour tout le monde c'était le printemps, et puis bientôt paques.
Moi j'étais pas sortie depuis 2 jours. Pas vu le soleil depuis 2 jours.
Dehors, il faisait plus chaud que je ne l'aurait cru. Et mon village, on aurait dit un village où j'avais passé mes vacances de pâques il y a quelques années. Gorgé de soleil. Avec des fleurs.
Mais je suis malade. Enfin, ça finira par passé, c'est comme tout. Alors je tue le temps ici.
Ou dans mon lit, avec le baladeur soudé aux oreilles.
Et puis "caravane", encore et toujours.
En fait, je ne tourne qu'avec quelques chansons. "caravane",bien sûr, mais aussi "my immortal", et puis "my heart will go on"et "my unintended".
Beaucoup de "my". L'égocentrisme du monde dans toute sa splendeur. Tout le monde pense "my" en écoutant ces chansons.
Parce que l'on se veut tous uniques.
Et puis, ce soir. Enfin, nan, pas ce soir. Dans 10 minutes très précisement. Y a mon parrain qui descend de Paris. Même qu'il ne sait même pas que je suis malade par un si beau temps.
Mais la musique m'a souvent bien plus guéri que les médicaments.
Alors je vais allez chercher mon baladeur...
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(... parenthèse...)
(aujourd'hui, une bulle d'éphémère...)
(date) 22 mai (en plus il est 21h 21)
(sourire) nan, ma vie est trop nulle, c'ets pas le moment de sourire comme une imbécile heureuse.
(quelques notes de musiques) pff... evanescence à la limite
(envie) de crever. ou alors de remonter le temps. de sortir de la vallée du "nul pur"
(quelques larmes) pas quelques. des torrents. pour rien et pour tout, ce qui est complémentaire, pas contradictoire.
(quelques pages) n'importe quoi, comme si j'avais envie de lire, alors que je suis au 60ème sous sol.
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